Le détartrage dentaire pour retrouver un beau sourire

 

Vous est-il arrivé de « sourire jaune »… dans les deux sens du terme ? Finissez-en avec ce problème ! Plus vous en saurez sur le détartrage, et plus vous serez convaincu de ses bienfaits sur votre dentition et votre santé.

 

 

Quels sont les éléments motivant un détartrage ?

Nos dents subissent continuellement l’agression de divers agents nocifs et lorsque nous ignorons ou omettons d’appliquer les règles d’hygiène bucco-dentaire, ceux-ci ont le champ libre pour se développer.    

 

 

Tout commence par la plaque dentaire

Notre salive est constituée de substances diverses et dès que nous nous alimentons ou nous désaltérons, des résidus de ce que nous ingurgitons subsistent dans notre cavité buccale ainsi que sur nos dents. Cet ensemble d’acides, de sucres, de protéines salivaires, de bactéries et d’autres éléments finit par constituer une fine couche blanchâtre et légèrement collante qui est la plaque dentaire. Cette fine pellicule dont la formation est favorisée par une alimentation riche en sucre, acides et matières grasses, se pose sur la surface de nos dents, dans les interstices et à la base de celles-ci pour gagner ensuite nos gencives. C’est elle qui, généralement, donne à nos dents une coloration légèrement jaune. Il ne lui faut pas plus de 24 heures pour se constituer et son évolution est assez rapide. À ce stade, la formation de la plaque dentaire est un phénomène naturel et ne recèle pas toujours un mal dentaire. Un brossage régulier et minutieux des dents suffira à en venir à bout. 

 détartrage dentaire

 

Qui se mue en tartre

Si vous omettez de vous brosser les dents après chaque repas, d’autres débris, bactéries et autres substances toxiques s’ajouteront à la plaque dentaire qui s’est mise en place. Celle-ci deviendra alors plus importante. Avec l’action des substances de la salive, à savoir les phosphates, magnésium et calcium, elle s’épaissira et se durcira. C’est cette minéralisation de la plaque dentaire qui aboutit à la formation du tartre.

 

 

Les caractéristiques générales du tartre

  • Son origine : il apparaît dès que la plaque dentaire s’épaissit et se solidifie. En effet, malgré tout le soin que vous apportez au brossage de vos dents, il ne vous sera pas toujours évident d’atteindre une partie de celles-ci avec la brosse.
  • Son aspect : dépôt dur et rude au toucher, il est fermement collé aux dents et leur donne aussi une coloration jaune. De couleur claire au début, il peut prendre une teinte plus sombre sous l’action du tabac, du thé, du café ou de certains médicaments. Si le tabac n’est pas à l’origine du tartre, la nicotine a cependant le pouvoir de lui donner une couleur noire et de rendre la gencive plus fragile.
  • Sa constitution : c’est une agglutination de bactéries reliées et cimentées par une « enveloppe » calcique.
  • Son développement : le mode d’hygiène bucco-dentaire, la position des dents, la sécrétion salivaire et la qualité de celle-ci influent beaucoup sur la rapidité de son développement. Une fois qu’il s’est formé, le tartre ne peut que se renforcer et il est impossible de l’éliminer avec une brosse à dents.
  • Son action : véritable nid de germes, il favorise l’apparition et le développement d’une carie, d’une gingivite ou d’une parodontite.

 

 

Les formes de tartre

 

Elles sont au nombre de deux :

 

Le tartre supra-gingival : appelé aussi tartre salivaire, il présente les caractéristiques suivantes :

 

  •  Généré par la salive, il est visible à l’œil et a une couleur jaune clair ou crayeuse. Avec le temps et particulièrement sous l’action du tabac et du thé, il peut prendre une coloration brune.
  •  D’un aspect poreux, il est tendre en surface, mais devient plus dur en profondeur : vu à la loupe, il ressemble à du corail.
  • Il est constitué de bactéries, de cellules mortes issues des muqueuses de la bouche et des substances issues de la salive qui sont d’ailleurs à l’origine d’une odeur très incommodante.

 

Le tartre sous-gingival, aussi dénommé tartre sérique :

 

  • Le plus souvent niché en profondeur, souvent au niveau de la racine de la dent, donc sous la gencive, il ne peut être aperçu qu’en écartant légèrement avec un instrument la partie de la gencive attenante au collet de la dent.
  •  D’une couleur marron ou tirant vers le vert, il est composé des éléments décomposés du sang à la suite de petits saignements de la gencive et qui, sous l’action des substances dans la salive, se sont calcifiés.
  • Très solide, ce tartre fortement collé au tissu dentaire est très difficile à extirper et est connu pour être le plus nocif pour les dommages qu’il cause à la gencive.  

 

 

Sur quelles dents le tartre se forme-t-il ?

D’abord sur celles que vous ne pouvez atteindre par le moyen d’une brosse à dents. Généralement, il se fixe sur les dents qui se situent à proximité des glandes salivaires, à savoir :

 

  • Les incisives inférieures.
  • Le côté interne des dents.
  • La face externe des molaires de la mâchoire supérieure.

 

Si vous négligez les règles d’hygiène dentaire, il peut envahir ces petits espaces vides entre vos dents et gagner toutes les parties externes de celles-ci.

 

La rapidité et la fréquence de la formation du tartre dépendent de la nature de la salive produite, donc de chaque individu.

 plaque dentaire

Qui peut en être atteint ?

 

Le tartre touche toutes les personnes :

 

  • Adultes ou enfants qui ne se conforment pas aux prescriptions d’hygiène dentaire. Il est même possible de le retrouver chez les touts petits qui ont continuellement une tétine en bouche.
  • Celles qui ont des problèmes bucco-dentaires.

 

 

Mais certaines personnes peuvent être plus exposées :

 

  • Celles qui sont âgées.
  • Celles atteintes de xérostomie ou sécheresse excessive de la bouche.

 

D’autres facteurs peuvent favoriser l’apparition ou le développement du tartre :

 

  • Certains médicaments comme les antidépresseurs ou ceux qui entraînent une diminution de la sécrétion salivaire.
  • Les traitements exposant à des radiations comme la radiothérapie.

 

 

Pourquoi le détartrage est-il si important ?

Le dépôt de tartre est une véritable niche de bactéries : plus il évolue d’épaisseur et plus celles-ci se multiplieront et produiront les molécules acides qui agressent les gencives, les dents et autres tissus. Les conséquences d’une accumulation excessive du tartre sont diverses :

 

 

  • La gingivite qui est une inflammation des gencives et les rend rouges, tuméfiées et douloureuses.
  • Une récession gingivale : associé à un brossage orienté vers la gencive, le tartre accumulé favorise le recul de celle-ci et peut mettre à nu le collet dentaire.
  • La parodontite : aggravation de la gingivite, elle se manifeste par la destruction progressive des tissus de soutien qui fixent les dents la dent à la mâchoire
  • Déchaussement de la dent : sous l’action des bactéries, des poches vont se constituer, endommager les tissus reliant la gencive à la dent, rendre celles-ci très mobiles et les faire tomber.
  • La carie dentaire : cachée sous un dépôt de tartre, elle ne provoquera de douleur que lorsqu’elle se muera en abcès dentaire.
  • L’halitose ou la mauvaise haleine : due à la putréfaction de tous les éléments constituant le tartre. Si celui-ci n’est pas extrait, la mauvaise haleine deviendra chronique.

 

Remettre a sine die le moment pour effectuer un détartrage équivaut à compromettre votre santé et attendre une trop grande étendue des dégâts risque de perturber sérieusement votre situation financière. En effet, une maladie des dents ou des gencives non traitée peut entraîner :

 

  • Des maladies respiratoires : les bactéries, en migrant vers les poumons, peuvent provoquer une infection ou aggraver une maladie pulmonaire.
  • Chez les futures mamans, le risque d’un accouchement prématuré ou de donner naissance à un enfant de faible poids, car les bactéries peuvent atteindre le placenta ou traverser le liquide amniotique.
  • Chez les diabétiques, une plus grande difficulté pour effectuer le traitement : les bactéries dans le sang peuvent compromettre les chiffres du taux de glycémie lors des analyses de contrôle.

 

Enfin, si vous attendez de parvenir au stade où la parodontite aura détruit sérieusement les ligaments et commencé à faire des ravages sur les os de votre mâchoire, vous devrez suivre des traitements plus contraignants et très coûteux, car ils peuvent aboutir à des interventions chirurgicales. 

 

N’attendez donc pas de souffrir de douleurs dentaires ou gingivales, dominez votre phobie des cabinets dentaires et concentrez-vous sur les bienfaits que peut apporter un détartrage :

 

  • Il vous redonnera un sourire radieux et une haleine fraîche. Débarrassées de toutes ces vilaines colorations, vos dents retrouveront leur teinte naturelle, et vous ne vivrez plus les gênes causées par une mauvaise haleine.
  • Il vous exposera moins aux caries et maladies simples ou aggravées de la gencive.
  • Il peut prévenir d’autres affections.
  • Il n’y a aucune contre-indication connue au détartrage.

 

 

Y a-t-il des moyens d’enlever le tartre autrement que chez un dentiste ?

Si vous faites des recherches sur le net, vous verrez une multitude de conseils qui, à défaut d’un détartrage en profondeur, peuvent venir à bout de la plaque dentaire :

 

  • Le bicarbonate de soude : une cuillerée à soupe mélangée avec une pincée de sel permettrait de faire un détartrage et de faire retrouver aux dents leur blancheur. Mais il ne doit pas être utilisé de manière excessive, car peut, à la longue fragiliser l’émail de vos dents.
  • Le vinaigre blanc : mélangées à un demi-verre d’eau, deux cuillerées à soupe de vinaigre blanc utilisé en bain de bouche parviendraient à détartrer les dents.
  • L’eau oxygénée : ajoutée au bicarbonate de soude, elle se révèlerait très efficace pour restituer l’éclat naturel des dents.
  • Le charbon actif d’origine végétale mis en poudre : ne vous laissez pas déstabiliser par votre bouche temporairement noircie durant la séance de brossage et fiez-vous au résultat !

 

D’autres recettes de grand-mère existent également, et il ne vous reste plus qu’à choisir la solution qui vous sied le mieux. Mais n’oubliez toutefois pas que :

 

  • Plus un dépôt de tartre s’épaissit, moins il sera facile de l’enlever.
  • Il vous sera toujours impossible d’enlever le tartre qui s’est déposé dans les parties que vous ne pouvez atteindre ni voir. C’est la raison pour laquelle il est préférable de se fier à l’œil d’un expert.

 

 

Mais avant de voir en quoi consiste un détartrage, une petite précision s’impose : il ne faut pas le confondre avec le blanchiment des dents qui :

 

  • A essentiellement un but esthétique.
  • Demande, en sus de la motivation, de la patience. Sa réalisation requiert plus d’une consultation et par conséquent, des moyens financiers.
  • Ne peut être pratiqué sur des personnes sensibles des gencives ou qui ont des dents dévitalisées.

 

 

Quels sont alors les buts du détartrage ?

C’est un acte qui fait partie des règles d’hygiène bucco-dentaire. Il doit être effectué :

 

  • Pour empêcher la prolifération des bactéries.
  • En prévention des maladies bucco-dentaires.
  • Pour éviter un noircissement prématuré des dents.
  • Pour faire retrouver aux dents leur coloration naturelle.

 

 

En quoi consiste le détartrage ?

Il consiste à enlever les plaques de tartre fortement adhérées ou incrustées :

 

  • Sur les dents ou à leur base.
  • Dans les interstices dentaires.
  • Sous la gencive.

 

C’est une intervention qui nécessite l’utilisation d’outils spécifiques et requiert la compétence d’un chirurgien — dentiste ou d’un praticien spécialisé en parodonte. Il y a deux sortes de détartrage :

 

  • Supra gingival : qui consiste à enlever le tartre visible à l’œil nu.
  • Sous-gingival : qui concerne le tartre niché sous la gencive et susceptible de gagner la racine de votre dent. Ce type de détartrage qui nécessite un décollement de la gencive se fait toujours sous anesthésie locale.

 

 

Comment s’effectue le détartrage ?

Pour pouvoir déterminer le type d’intervention à effectuer, votre dentiste vérifiera d’abord, à l’aide d’une curette, la présence éventuelle des poches gingivales ainsi que leur importance.

 

  • En cas de gingivite avancée, il pourra vous prescrire des antibiotiques pour éviter que les bactéries ne se propagent dans votre sang et altèrent votre état de santé.
  • Si vous présentez une inflammation sérieuse risquant de compromettre l’état de vos maxillaires concernés, il pourra alors vous orienter vers un spécialiste en parodonte.

 

 

Quels sont les instruments utilisés pour le détartrage ?

Auparavant, il s’effectuait manuellement à l’aide d’un petit outil ayant la forme d’une faucille ou d’un crochet. Mais avec l’évolution de la technologie et pour éviter ou minimiser les petites douleurs éventuelles, les dentistes privilégient maintenant le détartrage par ultra — son.

 

 

De quoi s’agit-il ?

Il ne s’agit pas de passer des ondes sur la dent. Pour effectuer le détartrage, le dentiste se sert d’un instrument doté d’un embout en métal ou en céramique.

 

  • Il va passer cet embout sur les plaques de tartre : celles-ci, sous l’effet des vibrations émises à haute fréquence se disloqueront et se détacheront de la surface des dents.
  • Pour éviter une surchauffe de l’instrument et faciliter l’élimination des débris, il projettera dans votre bouche de l’eau en continu. Cette irrigation permettra au dentiste d’avoir une bonne représentation des surfaces sur lesquelles intervenir.
  • Il utilisera aussi un petit aspirateur qui servira à débarrasser le champ opératoire de l’excès d’eau, de la salive ainsi que des particules de tartre que vous risquerez d’avaler.

 

Le détartrage par ultrasons est privilégié par les dentistes, car :

 

  • Il est rapide, donc demande moins de temps et cause moins de peine au dentiste, contrairement au détartrage effectué manuellement.
  • Il rassure beaucoup plus le patient, car l’intervention est pratiquement indolore, sauf pour les sujets jeunes ou les personnes qui présentent un déchaussement des dents.

Le dentiste peut d’ailleurs régler l’appareil en fonction de la sensibilité de chaque patient. Si vous ressentez des douleurs, vous n’aurez qu’à le lui dire et il optera certainement pour une anesthésie locale sur les parties douloureuses.

  •  La technologie sur les instruments de détartrage par ultrasons ne cesse d’évoluer et les nouveaux outils augmentent en termes d’efficacité et de confort procuré au patient.

 

Outre les instruments par ultrasons, le détartrage peut aussi être réalisé par une méthode nommée « système de sablage » et qui consiste à projeter, par l’intermédiaire d’un jet d’eau, du carbonate de calcium sous forme d’infimes fragments qui morcelleront la plaque de tartre. Ce procédé qui est indolore et efficace est aussi utilisé simultanément avec des instruments destinés à évacuer l’excès d’eau.

 

 

La fin de la séance de détartrage

Les opérations manuelles sont toujours pratiquées, particulièrement dans le cas d’un détartrage sous-gingival, mais en général, les curettes et les grattoirs sont employés pour peaufiner le travail réalisé par les instruments par ultrasons.

 

Pour réaliser un détartrage selon les règles de l’art, le dentiste : 

 

  • Se servira d’une petite brosse ou d’un fil dentaire pour déloger le tartre niché dans les espaces vides entre les dents.
  • Utilisera l’outil ayant la forme d’une faucille ou d’un crochet pour extraire le cément altéré par les bactéries. Cet instrument, contrairement à celui utilisé pour curer la gencive ne devra pas être trop tranchant pour éviter d’endommager les tissus de la dent.
  • Procèdera éventuellement à un surfaçage radiculaire : le dentiste polira la surface de la racine de la dent de façon à ce que le tartre ne s’y pose et ne s’y colle plus facilement.
  • Passera sur vos dents une petite brosse rotative recouverte d’un gel ou d’une pâte gingivale. Cette opération de polissage aura pour but :

 

v  D’enlever toute la plaque dentaire qui se serait constituée sur vos dents.

v  De faire disparaître toutes les inégalités formées par le passage de l’embout de l’instrument à ultrasons sur la surface de vos dents.

v  D’éliminer toutes les traces de coloration sur vos dents.

v  De redonner à la surface de vos dents un aspect lisse et… doux.

 

Pour la réalisation de cette opération, le dentiste pourra aussi se servir de ce procédé de jet d’air comprimé associé à de l’eau et du bicarbonate de soude, connu pour être très efficace.

 

 

Les précautions indispensables

 

  • Dans les 5 voire 6 heures suivant le détartrage, évitez à tout prix de fumer, de boire du café, du thé, du vin rouge ou d’absorber des aliments à forte teneur colorante comme les betteraves ou les myrtilles.

 

En effet, l’opération de surfaçage rend vos dents très réceptives à tout colorant : il faut laisser à l’émail et aux autres tissus le temps de se ressourcer en sels de calcium existants dans la salive. Vos dents seront alors à nouveau minéralisées et mieux protégées.

 

  • Pour éliminer la plaque dentaire et empêcher qu’elle n’évolue en tartre, brossez vos dents durant 3 minutes après chaque repas, et utilisez du fil dentaire pour dénicher les débris logés entre vos dents.

 

v  Privilégiez les brosses à dents dont les poils sont souples et la tête petite : il vous sera plus aisé d’atteindre les parties les plus difficiles d’accès.

v  Si vous n’avez ni le cœur ni le temps pour effectuer les bons gestes, optez pour la brosse à dents électrique qui est très efficace avec ses mouvements rotatifs et ses micro-pulsations.

v  Investissez dans un jet dentaire ou hydropulseur pour vous débarrasser des résidus alimentaires lovés dans les parties les plus « obscures » et ainsi, nettoyer au mieux votre cavité buccale.  

 

  • Optez pour une alimentation saine en évitant de manger trop sucré et trop gras.

 

Le détartrage sera pourtant toujours nécessaire et le mieux est de vous renseigner auprès de votre dentiste sur la fréquence de sa réalisation.

 

 

Le détartrage, combien de fois ?

Sa fréquence dépend de la rapidité de la formation du tartre, donc de chaque individu.

 

En général, il devrait se faire tous les ans. Même si vous n’avez aucun problème de santé et que vous respectez les prescriptions d’hygiène bucco-dentaire, consultez quand même votre dentiste : lui seul pourra vous donner un diagnostic précis et les recommandations adéquates.

 

 

Et ça coûte combien ?

Le remboursement, de l’ordre de 70 %, accordé par la Sécurité sociale sur le coût de cet acte est plutôt faible par rapport au temps requis pour sa réalisation, particulièrement lorsqu’il s’agit du détartrage sous-gingival. Une mutuelle peut couvrir 1 ou 2 détartrages par an, mais si vous êtes sujet à de sérieux problèmes dentaires, le mieux est de recourir à un organisme qui propose une prise en charge plus étendue.

 

 

 

 

 

 

 


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